Peuple
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![Les marchands d'herbes [ Quête ouverte ] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | | Sujet: Les marchands d'herbes [ Quête ouverte ] Dim 22 Déc - 23:58 | |
| - Musique de L'introduction:
***
La rage envahissait le ciel déchiré par des éclairs flamboyants. Ces dernières parcouraient de longue distance, parfois frappent les arbres, les montagnes et dans l’écho, on pouvait entendre le hurlement, le grondement des démons qui avaient possédés le ciel de l’enfer rougeoyante qui semblait vouloir détruire la terre des hommes. Comme si cette danse macabre n’était pas complète, La mer répondait à l’appel de la noirceur. Poussant de haute vague meurtrière qui venaient s’effondrer sur la rive, cherchant toujours à aller plus loin, afin de submerger une bonne fois pour tous les continents. Cet eau avait mis son mentaux d’encre noir, afin de refléter l’enfer du ciel entre ses flots qui grondaient.
Ne possédant aucun Navire assez fort pour affronter ce démon. Navires et embarcations avaient jeté l’ancre au port. Afin d’attendre que le calme ne pointe son bout de nez. Les Capitaines avisés, avaient donc décidé de laisser mousse et matelots boire à en perdre l’esprit. La taverne était donc, pleine de gens qui maudissait le ciel ainsi que la mer. Les marchands, afin d’empêcher leur commerce de devenir esclave du vent, avaient fermé plutôt leur façade de toile. Et avait rejoint la peuplée dans la taverne. Quelque Braves, avaient encore leur panneau sortie, dévoilant que leurs commerçant braverait les éléments.
La pluie avait commencé à inonder les chemins de terres, laissant une boue épaisse et gluante, recouvrir les pieds des voyageurs qui n’avaient réussi à trouver refuge avant l’inondation. Les soldats, qui avaient été chargé de patrouille dans les rues, avaient trouvés refuges un peu partout dans les maisons des villageois. Aucun signe de soleil ne perçait les épais nuages qui semblaient chercher à recouvrir le sol.
- Musique du Chapitre 1:
Vous arrivez
donc au
village...
Et voyez:
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À l’entrée du village, une sombre silhouette s’avançait dans la pénombre. Un large capuchon, lui cachait le visage, sur son dos, un arc mi- long et quelque flèche caché dans un carquois en peau. Ses bottes étaient remplies d’une boue rouge et un sourire ténébreux s’affichait sur ses lèvres. Cet homme avait pris place contre un arbre majestueux qui suivait le rythme du vent. Les bras croisés il semblait attendre, ni la pluie ni le vent ne semblait le déranger. Son visage était faiblement éclairer par le petit bout rouge de sa cigarette qu’il tenait entre ses lèvres. La lueur rougeâtre, lui donnait un être démoniaque. À ses pieds, se trouvait un sac, plutôt grand avec plusieurs poches. | |
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