Sur une plage caché des regards

Le vent soufflait la berge, créant des petits nuages de sable qui tournaillait dans tous les sens. Le ciel couleur pastel, mariage entre la fin du jour et début de la nuit, créait des ombrages qui bougeaient suivant les nuages. La petite plage était bien cachée, entouré de roche à l’extrémité pointue.  Le sable était blanc avec quelques coquillages rejetés par la mer. Le vague, aussi petites soit-elle, venaient mourir contre le rivage. Créant une mélodie unique. Les coassements des oiseaux marins rendant le paysage presque féérique.

Lorsqu’elle mit le pied sur la plage de galets. Sa robe se mit à suivre le mouvement du vent. Dansait à chaque brise marine. Ses cheveux, toujours attachés, d’un geste gracieux de la main, se retrouvèrent libre au vent.  Iris, n’en croyait pas ses yeux

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Retirant délicatement, les petites sandales de ses pieds, elle posa ses dernier contre le sol. Elle pouvait enfin sentir le sable entre ses orteils. Remontant légèrement le bas de sa robe et avec un rire d’enfant, elle s’élança en direction de la mer. Arrêtant avant de toucher l’eau. Elle avait le cœur qui se débattait et la vague ne lui donna pas le temps d’attendre, et glissa sur sa peau. Elle fut surprise de la froideur de cette eau, mais la jeune fille se mit a rire, un large sourire sur le visage. C’était la première fois, qu’elle souriait pour de vrai.

Courant après la vague, elle eut vite de l’eau jusqu’aux genoux et sa robe fut aussitôt imbiber d’eau de mer, mais cela ne semblait pas la déranger, elle lâcha même le tissu qu’elle retenait entre ses doigts et ferma les yeux. Laissant les rayons du soleil lui réchauffer le visage et l’eau de la mer lui refroidir le corps.  La différence de température lui fit frissonner la peau. Son cœur était rempli d’une drôle de chaleur et elle oublia à ce moment, tous ses petites problèmes.

Les vagues continuaient de bercer doucement le rivage, frappent au passage les deux personnes qui se regardaient dans le blanc des yeux. Son regard, était de la même couleur que la mer, quelques reflets mélangé aux rayons du soleil, créait des petites lumières qui flottaient dans son iris. Le vent c’était un peu refroidit, mais pour rien au monde elle ne voulait quitter cette endroit.

- Merci… Je garderais ce moment dans mon cœur…

Elle savait, qu’une fois de retour au château, elle ne pourrait revenir, car son cœur était content, mais elle désobéissait à l’ordre de son père. Non loin, une ombre d’un navire cacha un peu le soleil, des marchands venaient de quitter le port et partait en conquête des mers. Mais elle ne quitta le Garde des Yeux. Pourquoi avait-il décidé de l’emporter si loin du château.

Sa robe, rempli d’eau, suivait les mouvements des vagues qui se retirait pour revenir frapper, repartent à la mer pour revenir mourir sur le rivage. Les oiseaux étaient partis en direction du soleil couchant, libre comme l’air, ne se souciant point de la vie qu’ils survolaient. Iris aimerais être un oiseau, libre dans le ciel, libre sur la mer

La jeune princesse quitta avec regret la mer froide afin de s’approcher du feu que son garde avait eu l’idée de faire, Restant debout, son regard se perdit un moment dans les flammes naissantes. La chaleur lui apaisa la peau devenu froide. Elle écouta silencieusement les paroles de l’homme avant de poser un regard sur le médaillon que ce dernier lui avait mis sous le nez. Elle comprit qu’il agissait de la sorte avec elle acause de sa fille. Et malheureusement pas acause d’elle. Cela l’attrista un peu. De voir qu’une personne était aussi gentille avec elle, acause d’un souvenir passé. Mais elle eut un petit sourire prenant le médaillon entre ses doigts.

- Merci il est magnifique.

Elle regarda un court moment le père de famille avant de reporter son regard en direction de la mer. Gravant à jamais ce paysage qu’elle avait rêvé voir. Son cœur était heureux, mais elle savait qu’elle ne devait revenir. Elle ouvrit la petite main qui retenait les deux chainettes ensemble et passa le médaillon autour de son coup et le glissa sous sa robe. Son père n’aimerait pas voir qu’une personne avait offert un cadeau à sa douce fille. La peau blanche de la princesse miroitait sous les ombres projetés par les flammes dansantes. Même si elle avait la joie au cœur, une larme solitaire perla au coin de son œil et sombra sur sa joue.

Le contacte de sa main sur la sienne la fit frissonner. Elle commençait à être terriblement fatiguer et le corset lui donnait terriblement mal au dos. Mais cela ne pouvait gâcher le moment qu’elle vivait. Cet homme lui offrait son amitié. Et personne ne lui avait jamais donné autant d’attention. Enfin une attention Normale.

- J’accepte avec joie d’être votre amie. Car vous êtes la première personne qui me donne autant d’attention. Sans rien demander en retour.

Elle s’était rapprochée un peu du feu tenant toujours la main du garde dans la sienne. Elle savait que ce geste était interdit par les lois de son père, mais elle trouvait cela touchant comme geste d’amitié. Son regard se porta une dernière fois sur le soleil qui déclinait à l’horizon, puis elle regarda le garde

- Il est temps de rentrer, on continuera la lecture de vos poèmes et de vos aventures dans ma chambre

Elle savait que plus longtemps elle restait loin du château, plus elle avait de chance de se faire prendre, même si elle voulait rester plus que tout. Elle lâcha donc la main du garde afin d'aller remettre ses sandales. sa robe était légèrement humide. Trouvant une bouteille de vers sur la plage avec un bouchon de liège, elle laissa entrer une vague dans cette dernière. Piègent l'eau à jamais entre les murs de vers. Elle plongea son regard, agitant l'eau à gauche puis à droite avec un petit sourire.

- toi tu viens avec moi...

Elle regarda le garde avec un sourire enfantin au visage

Le soleil était complètement disparu à l’horizon et les quelques braises agonisante éclairaient faiblement la plage de galets. La princesse avait terminé de mettre ses sandales et de remplis la bouteille, avant de prendre la direction qu’elle avait emprunté afin de fuir le château, pour une heure de plaisir dans sa longue et pénible existence. Elle savait que si elle se retournait pour regarder la mer une dernière fois, elle pleurait un bon moment. De devoir dire adieux à un si beau miracle. À une si belle création et a une si belle romance.

Elle prit donc direction du château, restant proche de son garde, mais le silence règnait dans son esprit. Ses lèvres étaient légèrement teinté de bleu. Elle avait attrapé froid et elle commençait à manquer d’aire du à son corset. Ralentissent un peu le pas. Elle s’immobilisa complètement. La tête commença à lui tourner.. Et sans même avoir le temps de demander au garde de l’attraper, les yeux lui tourna et elle tomba mollement sur le sol. Tel un chiffon. Heureusement, elle ne se frappa violement la tête sur le sol. Allongé, elle ne respirait plus, l’aire ne passait plus et sa peau était plus froide que jamais. Ses lèvres tremblaient légèrement et son regard semblait absent.

Au moment ou elle était tomber sur le sol, la bouteille avait rouler, le bruit avait résonné dans l’écho de l’espace rendant la scène un peu plus paniquant, Le médaillon avant sortie de sa cachette. Les ongles de la princesse étaient devenu mauve.

La nuit était complète, mais le ciel fut subitement envahi de nuage. Rendant le ciel plus lourd. Quelques éclaires parcouraient le ciel qui criait sa colère sur le pauvre monde mortel. Le visage complètement blanc et les lèvres bleutés par le froid. Elle n’arrivait plus à respirer et était toujours inconsciente.

Dans l'inconsience Elle vit; a écrit:

 Dans une pièce complètement sombre, se trouvait une jeune fille qui pleurait silencieusement, cette jeune fille avait de longs cheveux blonds et son regard perlait de souffrance. De longue chaine était attachée à son coup et dans son dos des ailes blanches reposaient calmement. Ses genoux étaient contre son délicat corps, habiller d’une simple robe déchirée. Les pleures de la jeune fille résonnait dans l’écho des lieux. Ses larmes tombaient sur le sol qui, comme la surface d’une eau, ondulait à chaque fracassement. Une voix dans la noirceur, un rire diabolique et une question ‘’ Pourquoi… Pourquoi as-tu désobéi… Tu le regretteras… ‘’ Les pleures de la jeune fille furent alors sanglot et les sanglots lui faisait un grand mal. –

Aussitôt son corset défait, la princesse prit une grande respiration, comme si on l’avait tenu sous l’eau pendant un long moment, elle se redressa le regard paniqué et rempli de l’arme. Ses lèvres tremblaient comme tous son pauvre corps. Et elle murmura un simple ‘’ non… ‘’ Avant de regarder autour d’elle. Doucement, une fine pluie commençait à tomber du ciel, rendant le feu un peu plus petit. Elle ne savait pas ce qui c’était produit, mais le rêve la fit frissonner. Et elle éclata en sanglot. Elle en savait pas pourquoi, mais elle ressentait une grande douleur au niveau de son cœur et la voix hantait son esprit. Elle regratta aussitôt d’avoir désobéi à son père. Elle rapporta ses genoux contre sa poitrine afin de se réchauffer, cachant son visage dans le creux de ses genoux. ‘’ pardon… ‘’

La jeune princesse, toujours étourdit, se redressa doucement, le dos appuyé contre l’arbre. Elle secoua légèrement la tête afin d’affirmer les dires de  son garde. Puis elle prit appuy contre le garde, la tête sur l’épaule de ce dernier, elle n’avait pas la force d’avancer.

- Je ne pense pas y arriver je me sens fiévreuse.

La pluie lui tombait sur le corps, collant sa longue chevelure sa tête, l’eau ruisselait sur ses épaules et sa robes. Elle ferma les yeux moment complètement tremper de la tête au pied et tout aussi épuisé. Elle avait encore en souvenir les images de la mer, l’odeur et la mélodie de cette dernière. Jamais, elle n’oublirait ce moment. Qui fut pour elle l’un des plus beaux de sa vie. Mais malheureusement, elle était tombée malade. Et ton son être la m’était en garde de retourner au plus vite dans sa chambre avant que le Roi ne remarques son absence, si cela n’était point déjà faite.

[ Rp terminer, suite à une autre endroit, Archivé ]