Un Jardin de belles fleures

Le soleil était déjà haut dans le ciel dépourvu de nuage, Le Roi avait laisser sa fille seule au royaume avec son garde du corps à porté de main. Le diner avait été priver entre elle et ce nouveau garde et étrangement, elle avait gardé le silence. Ne cherchant pas à faire fuir se père de famille qui recherchait son unique fille. Elle avait simplement dégusté les quelques plats qu'ont lui avait mis sous le nez. Les yeux presque clôt de sommeil. Une fois le repas terminé. Iris avait prit la direction du jardin. Son corset l'étouffait, lui compriment les poumons et empêchant l'air de rentrer complètement. Elle avait une silhouette des plus divines, mais le roi adorait toucher le doux tissu d'un corset sur le corps de sa jeune fille. Elle avait donc l'obligation de le mettre.

Sans même adresser une parole, elle prit la direction du jardin. Le jardinier avait passé la semaine à préparer ce beau jardin pour la bal masqué organisé à chaque année par le Roi pour l'amusement de la jeune princesse. Qui détestait plus que tout cet évènement. pour sa petite marche sous le soleil, elle avait mit une robe de couleur mauve et argent, de fin rubans nouaient ses longs cheveux en tresse sur ses épaules. Dans ses pieds de simple petite sandale qui montait en zigzag jusqu'à ses genoux. Elle posa son regard sur les fleures. Ces dernières était rouge, rose, mauve et il en avait même des bleus. Se fut un large sourire qui s'afficha sur son visage. Elle pouvait sentir la douce arôme lui caresser doucement le nez. Mon son regard se posa aussitôt sur la grande muraille qui délimitait la court... Elle ne pouvait voir la mer mais pouvait entendre le bruit des vagues contres la pierre, mourir.

Fermant les yeux, elle se retrouvait dans son monde, comme si elle pouvait presque toucher la mer... La sentir sur sa peau et la gouter sur ses lèvres. Du bout des doigts elle caressa les pétales d'une rose évitant les épines de cette dernière.

Iris regardait toujours aussi ardemment le mur extérieur de la cours. Le vent semblait vouloir apporter quelques brises marines. Caressent son doux visage. Ce n’était nul le parfum des fleurs, qui l’avait poussé à sortir, mais la mer. Elle voulait plus que tout, pouvoir poser sa main à la surface de cette eau saline.

La proposition de l’homme causa en elle, une grande curiosité. Garde, Serviteur et poète ? Est-ce que cela était réellement possible Elle plongea donc son regard dans celui du garde, se doutant que la profondeur de ses yeux n’avaient aucune effet sur l’homme. Prenant appui sur ses mains, elle se plaça afin de pouvoir bien entendre les paroles de l’homme. Rare était les gens, qui échangeait poésie avec elle. Pour sa part, elle préférait les mélodies qu’elle fredonnait. Car la seule poésie qu’elle avait droit de lire, était les récits de sa famille. Elle glissa une mèche rebelle derrière son oreille, toujours en soutenant le regard du garde, qui commençait à prendre un peu plus de temps dans sa vie, dans son cœur et dans son esprit. Il était certes, plus âgé qu’elle, mais elle enviait Lucia. Il semblait au premier regard dur comme la pierre. Mais avait un énorme cœur. Elle aurait aimé avoir un père comme lui. Aussitôt cette pensé dans son esprit, elle secoua la tête afin de la chasser.

- Je suis curieuse d’entendre vos paroles…

Elle croisa les jambes, le tissus de sa robe glissa sur sa peau et elle prit une fleur entre les doigts pour la sentir.

Je souris, cette réponse me rendais vraiment heureux, car cela faisais longtemps que je n'avais pas parler de ma poésie ou de d'autres textes.

Je sortis donc mon journal de ma poche.

"Hmm, laissez moi quelques instants, je dois retrouver le texte que je souhaite vous faire entendre..."

Je tournas les pages afin de trouver la bonne...

"Ah ! La voila..."

Je souris et me mis a lire...

"Le texte s'intitule...La Mer...

(Moi) a écrit:

La mer...Un endroit fabuleux remplie de merveille et de danger...De bien belles choses y résident, des animaux exaltés et éclatant se faisant voir sur le bord des navires...Il se disent gardien des océan...Protecteur des marins...Ses bêtes merveilleuse son mystifiante...

La mer...Sa tranquillité peut cacher bien des choses...Elle reste aussi imprévisible qu'impitoyable...Les eaux peuvent être d'un calme si paisible que nous ne pouvons point nous douter qu'elle cache une tempête derrière elle...

La liberté de ses habitants... Les poissons, rapide et magnifique semblent volés dans l'eau...Certain poissons peuvent même se prendre pour des oiseaux...Certaines légendes disent que ils seraient des oiseaux que les cieux ont bannis et transformés sous leur forme actuelle...Mais, ils essaient tout de même de voler.

La mer...Un endroit parsemé de trésor...De fabuleux trésors qu'aucun être humains ne peuvent pensés...Allant au magnifiques pierres précieuses aux bateaux les plus énormes que la mer n'ait jamais portée...

La mer...Cette endroit mystique...D'une attirance insoupçonnée....

"Voila, c'est tout...J'espère que ce texte vous a plus..."

Je resta silencieux sur ses derniers mots...

Hrp: Si vous le souhaitez vous pouvez m'en demander si vous voulez en lire d'autre

Le regard perdu dans le regard de l’homme qui était perdu sur les mots de son poème, elle sentit son cœur chavirer. Et sens savoir pourquoi, son regard se brouilla, s’inondant de l’arme qu’elle ne réussit à retenir. Elle pouvait sentir le contact chaud des larmes sur ses joues qui suivaient une ligne imaginaire. Jusqu’à la naissance de son visage, pour terminer leurs courses dans le vide. Parfois contre la table, parfois contre sa peau. Elle n’aimait pas pleurer devant les gardes, car elle voulait se montrer forte. Mais elle savait que son cœur n’était que songe. Les paroles n’avaient rien d’aussi touchant, que l’image qu’elles projetaient. Des images, que malheureusement, elle n’était pas destinée à voir de son vivant.

Elle détourna le regard, afin qu’il ne puisse apercevoir ses yeux couleurs mers sombrer dans la tristesse. Dans un murmure de sa douce voix.

- C’est magnifique….

Elle ne trouvait d’autre terme pour symboliser sa pensée. Oui elle adorait la mer, le chant et toutes ses merveilles, mais figurés de la sorte, cela l’avait profondément touché. Son regard se posa sur le jardiner qui venait de terminer d’arroser une partie du jardin. Puis elle retourna ce dernier sur le Garde. C’était la première fois, qu’elle était si proche d’une personne. Peut-être c’était cette raison, qui l’avait convaincu de laisser ses larmes couler. Lui donnent un petit souffle au cœur. Comme si la tristesse était moins grande, comme si de partager sa douleur avec autrui lui en retirait une grande partie.

Elle pencha aussitôt la tête de coter, elle était un être misérable, sa douleur appartenait qu’a elle, et elle seule devait souffrir du mal qui la rongeait. Elle essuya donc doucement les larmes du revers de la main. Mais ne se cacha pas. Elle n’avait rien à cacher mais à la fois, elle devait cacher son cœur détruit.

Je souris, même si je l'avais fait  pleurer...

"Je vais vous en lire un autre...Je l'ai écrire à la suite de la disparition de Lucia..."

Je tournas les pages jusqu'à ce que je trouve le bon texte...

Moi a écrit:

La vie c'est comme une rose, que de beauté à découvrir que de douleur a ressentir.la vie c'est aussi comme un mer, il y a des haut et des bas, nous sommes comme un bâteau sur cette mer, nous suivons les courant et poursuivons nos rêve idéaliste telle un oiseau qui retourne a sa verte patrie.

les sentiments que nous éprouvons sont quelque fois si vif quelle nous touche jusque dans notre âme, tellement puissante que nous pourrions ressentir celle des autres.Telle une aura elle peux être aussi bénéfique pour un que destructeur pour les autre.

L'amour construit des rêve e en détruit aussi d'autre. Tel une flamme au fond de notre coeur elle nous aide, elle nous aide a traversée les moments difficiles, telle un ange gardien qui nous surveille.Mais rien ne vaut l'amour d'un personne proche de nous pour partager nos bonheurs nos peines. Seul nous sommes désespérer mais ensemble nous formons un tout.

Nous avons toujours des anges gardiens qui veillerons sur nous même quand tout est désespéré, il nous aide a trouver la bonne voie, pour nous sauvé, il nous aide lorsque nous avons besoin de compréhension, d'un confident ou d'un ami.

Cette flamme est éternel, elle nous suis durant notre parcourt de vie.Elle nous surveille et nous aide.Bref penser qu'un ange gardien est toujours présent près de vous en cas de problème.comme pour moi mes ange gardien sont mes arrière grand-parent et mon oncle, je sais qui me protège et qu'il seront toujours la pour moi. Ils m'ont déja guérit d'un maladie que j'étais supposer avoir pour le restant de mes jours il y a un ans je leur en serais éternellement reconnaissant.

Lorsque je finis ce texte, mes yeux se remplirent de larmes...

Je tâchas de les retenir dans vraiment réussir...

Cela ne dura que quelques minutes...

Je repris mes esprits par la suite..

"J'espère ne pas trop vous importunez avec ma tristesse...."

Je regardas la princesse assise en face de moi...

La princesse avait détourné les yeux en direction du ciel. Le visage doucement bercé par le vent qui était légèrement froid. Elle ne regarda même pas, Michelle sa bonne, qui venait de faire irruption dans le jardin avec un théière pleine de thé noir sur un plateau. La vieille femme accorda un regard au Garde et aucun pour la jeune princesse. On pouvait sentir, que l’atmosphère était lourde et électrique entre les deux femmes. Michelle déposa les deux petites tasses devant les deux membres de la tablé et versa la thé. Avant de déposer le Théière sur la table proche du sucre et du lait. Avant même que la princesse ne lui demande de partir, Michelle s’inclina et quitta le jardin.

L’odeur du thé avait envahis le jardin se mélangeant au doux parfum des fleurs. Glissant ses doigts sur la cuillère, Iris déposa deux morceaux de sucre fins dans son thé et un peu de lait. Soufflant à la surface chaude du liquide chaud, elle ne regardait toujours pas le garde, avant de prendre une gorgée elle s’exprima

- C’est un texte très beau, mais malheureusement je ne peux croire en ses anges… Gardiens…

Elle prit une petite gorgée de son bon thé avant de déposer sa petite tasse dans le fond de son assiette qu’elle tenait dans l’autre main. Le regard de nouveau sur le garde. Elle ne pleurait pu, et semblait avoir détruit les brefs sentiments qui lui avaient habité le cœur. Les dires de l’homme l’avait fait réaliser, plusieurs choses.

- Vous savez… J’aimerais pouvoir écrire ce que je ressens…

En fait, elle avait trouvé une façon de le faire, une fois par semaine elle écrivait un message qu’elle laissa à la mer. Depuis qu’elle que temps, elle avait un correspondant de la sorte et pouvait se confier à lui. Beaucoup plus simple de ce confié à la mer.

- En tant que princesse, le seul ange qu’il y a dans ma vie est mon père.

Elle souffla de nouveau sur le petit nuage de fumer qui se dégageait du thé et en repris une gorgée, la chaleur apaisa aussitôt les sanglots qui cherchaient à remonter..

- Mais cela ne m’empêche pas de chanter…

Cette phrase elle l’avait murmuré, ses mots c’étaient perdu dans le vent, comme si elle avait parlait pour ne pas être attendu, comme si elle avait peur de ce qu’elle venait de dire.

La princesse glissa son doigts sur sa tasse de thé, avoir été une coupe de cristal un son se serait produit accause de la friction, mais n’étant qu’une simple tasse de thé, aucun son ne se produisit.  Elle avait envie de lui faire entendre sa voix, il avait partagé sa douleur avec elle, elle allait donc en faire la même chose.  Elle s’approcha doucement de lui, afin que personne ne puisse attendre la révélation qu’elle allait lui faire

- La bonne est la maitresse de mon père, elle ne m’aime pas car mon père me porte plus attention qu’à elle…. Ne le dit à personne

Puis elle se redressa, déposant la tasse de thé sur la table, debout dans le jardin de fleur elle ferma les yeux, afin de sentir les vibrations de la terre. Et d’écouter les battements de son cœur qui lui dictait les paroles, Légèrement dos au garde, elle se mit doucement à chanter les paroles suivante;

T'aimerais que j'te dise, que je t'aimerai toute ma vie
T'aimerais que j'te promette, toutes mes nuits jusqu'à l'infini
T'aimerais que j'te suive, à jamais sans faire de bruit
Et que je comprenne tout ceci sans que tu le dises.

Et je ne pourrai te dire, ce que je ne sais pas
Et je ne pourrai te donner, ce que je n'ai pas
Et je ne pourrai te fuir, même si tout nous sépare
Tout ce que je te promets c'est un nouveau départ

J'aimerais que le temps s'arrête lorsqu'on se parle
Et qu'apparaissent en plein jour dans le ciel, un milliard d'étoiles
Pour que je fasse un vœux, sans que mon soleil se voile
Et qu'on puisse être à nouveau deux sans se faire ce mal.


Et je ne pourrai te dire, ce que je ne sais pas
Et je ne pourrai te donner, ce que je n'ai pas
Et je ne pourrai te fuir, même si tout nous sépare
Tout ce que je te promets c'est un nouveau départ


Et j'aimerais me cacher sous tes paupières
Pour que tu puisses me voir quand tu fais tes prières
Et j'aimerais les casser toutes ces lumières
Celles qui t'empêchent de voir un peu plus clair


Mais je ne pourrai te dire, ce que je ne sais pas
Et je ne pourrai te donner, ce que je n'ai pas
Et je ne pourrai te fuir, même si tout nous sépare
Tout ce que je te promets c'est un nouveau départ

Mais je ne pourrai te dire, ce que je ne sais pas
Et je ne pourrai te donner, ce que je n'ai pas
Et je ne pourrai te fuir, même si tout nous sépare


Chaque paroles, chaque phrases et chaque mots, fit naitre sur son visage des larmes, mais sa voix était douce, rempli de chaleur et de souffrance. Aucune vibration de pleure ne déchirait la doucement musique. Le vent avait même accompagné ses paroles, créant un mouvement de vague dans le bas de la robe de la jeune princesse. Qui à la fin de ce chant, prit une grand respire serrant les points… le regard perdu dans le ciel… Elle ferma les yeux un moment, encore troublé par ce qu’elle venait de faire et souhaitait que personne autre que le garde, n’aille connaissance de cette chanson.

Regardant toujours le ciel, elle sentit son cœur manquer un battement, son souffle se coupa aussitôt, elle qui en avait déjà pas beaucoup acause de son corset. Elle regarda brusquement le Garde. Sans y croire, son cœur se débattait dans sa poitrine. Comme si, un miracle venait de se produire. Regardant le garde avec des grands yeux, elle ne pouvait y croire. Sans même se soucier des apparences, elle attrapa le bras du garde pour le reprocher d’elle, afin de placer son visage proche du sien. Plongeant son regard dans celui de Son garde elle pouvait sentir la chaleur du corps de ce dernier, elle n’avait jamais été aussi proche d’une personne autre que son père… Elle ouvrit la bouche cherchent ses mots

- V..vous.. Feriez cela pour moi

Elle savait qu’il risquait gros, il risquait même la mort, si le roi apprenait qu’il avait emporté volontairement sa fille en dehors des murs du château. Sa main était toujours sur le bras du garde et son regard rempli d’étincelle arpentait l’âme du garde. Une voix, dans son esprit, lui dit que ceci était peut-être une ruse, afin de l’enlever du château ou pire. Mais elle voulait plus que tous voir la mer

- Je suis partante..

Elle se surprise à sourire, mais tous son corps tremblait à la simple idée de quitter sa cage d’or. Et si son père l’apprenait, il se vangerait sur elle, comme à chaque fois qu’elle lui désobéi. Elle en était sur, elle était prête à tous pour toucher la mer.

[ fin du Rp la suite dans un autre topic, Rp archivé]