Présentation Nouveau Garde [ Moi-même, Iris et Kiel ]

La route avait été courte entre la taverne et le château. Perdu complètement dans mes pensées, je n’avais même pas imaginé de question à poser à mon nouveau garde. Le regarde perdu sur un ruban bleu que je tenais dans ma main, j’avais bien hâte de rejoindre ma fille. La nuit était fraiche en cette saison presque hivernale. Mais cela ne semblait point déranger les chevaux. Mon regard se posa aussitôt sur la tour qui s’élevait au loin, une faible lueur était allumer à sa fenêtre, elle ne dormait donc pas. Cela me réchauffa le cœur de savoir que je pourrais lui souhaitez bonne nuit avant qu’elle glisse dans les doux rêves de l’innocence et de l’enfance.

Aussitôt arrivé dans le château, je fis signe à mon garde de laisser ses choses sur le cheval et lui demanda de me suivre, chaque marche me rapprochait d’elle, de son regard, de sa beauté et de son odeur particulière de fleur. Arrivé devant la porte de sa chambre, j’ouvris sans même m’annoncé et entra dans sa chambre, d’un simple signe de la main, j’indiquai au Garde royale de me suivre et referma la porte lorsque ce dernier était entré dans la chambre.

La pièce était faiblement éclairé par quelques bougies et une odeur de fraise flottait dans l’aire, se doux parfum me fit frissonner et un large sourire vu le jour sur mes lèvres lorsque je posa le regard sur ma fille. D’une voix, la plus mielleuse ;

- Bonsoir ma fille, je te présente ton nouveau garde…

Je voulais qu’elle me regarde, qu’elle posa son regard sur moi, son regard innocent de jeune fille, qu’elle murmure de sa douce voix, mon nom, et qu’elle me prenne dans ses bras. Je ne devais laisser paraitre ma faiblesse pour cet ange, devant le nouveau Garde, car ce dernier aurait aussitôt le Begin pour cette jeune fille.

La nuit était tombée depuis si longtemps, la jeune princesse avait perdu son regard dans le ciel d’encre. Comme si elle cherchait à étouffer les cris déchirants de son cœur. Après un moment, assise à l’unique fenêtre de sa chambre, elle avait prise place devant son miroir, une brosse en main, elle avait commencé à brosser ses longs cheveux blonds, un fantôme de chanson aux lèvres. Une douce mélodie tirée de son cœur qui lui remontait souvent en mémoire. Elle avait passé la journée assise dans sa chambre à lire et à regarder le temps passé. Car rien n’avait semblé plus intéressent dans le château. Son professeur de combat était partie en quête d’une mission pour le Roi et les domestiques vaquaient à leurs nombreuses tâches. Elle avait donc, prit un parchemin et écrit un court message, qu’elle avait caché dans une bouteille. Ce message avait été, par les soins de sa bonne, envoyé en mer. Mais ceci restera à jamais un secret.

Assise devant le miroir, elle regardait le bleu de ses yeux, imaginant l’océan dansante sous les rythmes du tonner et du vent. La nuit était fraiche, elle pouvait sentir le froid par la fenêtre légèrement ouverte. L’air marin avait envahi sa pièce ce qui lui chauffait un peu le cœur. Elle voulait plus que tous, voir la mer et pouvoir y voguer. Mais les rêves n’avaient nulle place dans son cœur. Aussitôt ses pensé furent brusquement interrompu par la porte qui dans un grincement familier s’ouvrit. Sans même détourner les yeux de son reflet, elle pouvait voir le Roi et un homme qui le suivait comme son ombre. Elle retient alors un soupire… Son père était certes sa vie, mais ses preuves d’affection lui faisaient terriblement mal. Son père s’adressa à elle, comme à son jour, avec une voix calme et attirante. Iris détourna donc son regard du miroir pour le plonger sur son père et ensuite sur l’homme qui le suivait. Elle plongea son regard dans le sien. Déposant la brosse sur le bureau. Ses yeux couleur mer semblaient presque voir l’âme de l’homme. On dit que de croiser le regard de la princesse était un envoutement.

Malheureusement Iris n’avait aucun contrôle sur la beauté de son corps ou de son regard. Heureusement pour elle, elle portait une belle robe de couleur ciel, qui lui moulait le corps sans trop en dévoiler. Ses cheveux tombaient en cascade sur son divin corps. Son visage, dépourvu d’imperfection était faiblement éclairé par la bougie proche d’elle, qui faisait danser des ombres sur le mur.

- Enchanté... Je Suis la Princesse Iris

Elle pouvait sentir l’odeur de l’alcool pénétrer l’air ambiante et redoutait la suite des évènements… Elle n’avait pas quitté l’homme des yeux, ne sachant si elle devait avoir confiance ou non.

Je m’approchai de ma fille qui observait le nouveau garde, Je me plaçai à sa droite, et lui caressa délicatement la joue, du bout des doigts. Sa peau était douce et chaude. Comme à son habitude elle n’avait pas changer. Elle sentait toujours aussi bon de proche. Je pouvais sentir mon corps la réclamé, en plus de tous mes sens engourdit par l’alcool, je devais combattre le désir de la plaquer contre le mur. Que j’aurais sûrement fait si le nouveau garde n’aurais point été là. Je me contentai de lui caresser la joue et de glisser ma main un peu sur sa nuque lui jouant dans les cheveux. Ils étaient si doux, comme la soie et glissaient entre mes doigts créant des frissons que je ne pouvais cacher. Mon regard se posa sur le garde qui venait de faire sa révérence.

- La chambre de ton garde sera en face de la tienne, Si tu as besoin de lui, tu n’as qu’à l’appeler.

Je continuai doucement de passé mes doigts sur sa nuque suivant les contours du tatouage que je lui avais offert lorsqu’elle avait eue l’âge de 5 ans. Puis je plongeai mon regard dans le sien, prenant son menton entre mes doigts, l’obligeant à me regarder. Ma fille est vraiment la plus belle de se royaume et son regard à un drôle d’effet sur moi.

- Ma douce fille, j’espère que ce garde ne t’offusquera pas comme le dernier.

Puis je plongeai mon regard sur le garde, déposant ma main sur l’épaule de ma fille.

- Vous commencez votre travaille ce soir, il est important de l’avoir à l’œil elle est ce que j’ai de plus cher à mon cœur.

Et je n’avais pas menti, elle était à moi, rien qu’a moi, et personne n’avait le droit de la toucher, autre que moi. Sa beauté était mienne.

- Mon ange, je vais te laisser avec ton garde, je dois aller m’occuper des affaires royales…

Pour tout dire j’avais tellement la tête qui tournait et une seule idée de lui sauter dessus, que je devais vite quitter sa chambre. Vite quitter son emprise. Je posai mon regard sur ma fille avant de déposa un baisé sur son front, tout en lui caressant d’une main la joue, je regardai une dernière fois ses yeux, sentant son parfum. Lui plaçant une mèche de cheveux derrière l’oreille, je quittai la pièce regardant une dernière fois l’homme qui devait surveiller ma fille unique… Mon amour… Ma reine.

Le regard de la jeune fille n’avait pas quitté son nouveau garde. La révérence de ce dernier lui tira un sourire qui s’afficha sur ses douces lèvres rosés.  Qui disparut aussitôt son père à ses côtés.  La main du Roi venait de glisser sur sa joue, lui tirant des frissons qui n’avaient pas l’effet désiré. La main humide de sueur du Roi glissa dans sa nuque. Ce qui lui fit fermer les yeux un bref moment. Comment un homme, pouvait-il faire endurer pareille épreuve à son enfant.  Mais elle ne fit que frissonner sous les doigts désireux du roi.

Lorsque ce dernier l’obligea à le regarder dans les yeux, elle les ouvrit brusquement. Son père était si proche d’elle, qu’elle pouvait sentir son haleine futile de bière. Et elle pouvoir voir facilement le désir ardent qui lui brulait les yeux. Mais fut surprise qu’il ne posa pas plus la main sur elle.  Il devait vouloir faire bonne impression devant la nouvelle recrue. Elle plongea de nouveau son regard sur le garde, heureuse d’apprendre que la chambre de ce dernier était si proche. Bonne ou mauvaise nouvelle, elle avait un sourire satisfaite aux lèvres.

Elle devait approuver les choix de son père et avait parfaitement compris. Que ce garde sera le dernier qu’elle pourra avoir. Les mains de son père toujours sur elle, la firent de nouveau frissonner, comme quand vous imaginez une atrocité ou qu’un profond sentiment de dégout vous habite. Mais avec le temps, cela était devenu normale pour cette jeune fille.  Le regard toujours posé sur le Garde, elle attendait de voir une réaction, car si réaction il y avait, cela s’annoncerait mal pour le garde en question. Car personne ne pouvait s’opposé au dire ou au geste du monarque.
Le vent venait de pénétrer de plus belle dans la chambre et le Roi la quitta aussitôt, comme si quelque chose chercha à le ronger de l’intérieur. Ce Dernier avait poser ses lèvres sur le front de la jeune princesse, qui avait fermé les yeux un bref moment et les avaient rouverts pour regarder son père quitter la pièce. Sa démarche indiquait qu’il allait se coucher. Sinon il l’aurait bordé comme à son habitude.

Étant seule avec le garde,  La jeune princesse se redressa doucement, laissant son corps sombrer dans la noirceur qu’elle projetait cachant la faible lueur de la bougie. Elle était un peu paniquer de se trouve seule avec cet homme, mais ne laissait aucun sentiment paraitre. Elle fixait l’homme simplement

- Est-ce que mon père vous a expliqué vos tâches… ?

Elle avait le cœur qui résonnait dans ses oreilles, comme si elle n’arrivait pas à comprendre cet homme devant elle. Sa taille et sa posture l’intimidait un peu.

La nuit commençait à laisser place au jour qui attirait la noirceur dans l’oubli des lumières du jour. Laissant pénétrer la lumière dans la chambre. La jeune princesse c’était approcher de son lit afin de s’y assoir. Son regard sur son garde, elle ignorait les ordres à lui donner, peut-être devrait-elle lui poser quelques questions. Mais son regard semblait ailleurs comme ses pensées. Peut-être ne s’attendait-il pas à avoir cette tâche. Elle eu donc un petit sourire quand ce dernier s’adressa à elle. Avait-elle besoin de quelque chose ? Oui plus d’information…

- Avez-vous déjà protégé une personne ?

Cette question semblait anodin, mais elle était très importante pour la princesse. Car s,il n’avait jamais protéger personne, comment pouvait-il la protéger. Sa robe glissa sur sa peau lorsqu’elle croisa les jambes. Le sommeil l’avait un peu envahi. Elle s’étira gracieusement avant d’attacher ses longs cheveux en tresse sur le coter de sa tête. En croisant les jambes, elle avait dévoilé ses longues jambes. Elle voulait tous savoir de ce garde, qui étrangement ne c’était pas jeter sur elle. Elle se laissa tomber sur le dos dans son lit afin d’aller chercher une pomme qui était sur son bureau elle resta un moment allongé, avant de reprendre place et de croquer le fruit juteux. Son regard était plongé dans celui de son nouveau Garde du corps qui semblait rigide… Elle l’invita donc à prendre place sur la chaise d’un signe de main. Son père voulait qu’ils discutent pour faire connaissance. Elle allait donc faire ce que le Roi voulait. Elle détestait avoir des gardes aux fesses… Mais son père pensait que cela était obligatoire pour sa protection. S’il savait simplement qu’elle pouvait se défendre elle-même.

La princesse termina de manger sa pomme avant de lancer dans un panier qui servait de poubelle, elle regarda l’homme devant elle la tête légèrement sur le coter. Elle, avoir une lourd passé. Cela n’était pas grand-chose, comparé à la guerre ou à la perte d’un être cher. Elle se releva soutenant le regard humide de l’homme… qui lui semblait pleurer.. Elle ne posa pas de question un peu ému par ce qu’elle voyait. La tristesse de l’homme pouvait se refléter dans ses yeux. Afin de se soustraire au regard de l’homme. Elle se dressa pour ensuite aller prendre sa nuisette blanche et se cacher derrière l’éventail qui servait à la cacher aux yeux de tous. Elle retira doucement sa robe, laissant le doux tissus glisser jusqu’à ses pieds. Elle retira ses sous-vêtements, toujours sur d’être caché par le panneau de bois.

- Écouter… la confiance est de mise entre un garde et la personne gardé… Puis-je savoir ce qui vous accable de la sorte

Elle avait un peu prit son temps pour penser à ses paroles. Mais elle était réputé pour être une personne directe et n’aimait pas lorsqu’on lui cachait les choses. Elle enfila donc doucement la nuisette de couleur blanche qui lui cachait le haut du corps, laissant son ventre à nu comme ses épaules. Pour ce qui est du bas, elle enfila une simple petite culotte en dentelle blanche et sortie de derrière le pavois. Elle n’allait pas changer ses habitudes vestimentaires pour un garde, de plus ce dernier devait s’habituer au comportement étrange de sa fille. Son père était celui qui lui avait acheté ses vêtements. Donc elles les portaient comme il le voulait. Elle passait proche du garde qui était assis, prenant sur un crochet la robe de chambre en dentelle transparente qu’elle déposa sur ses épaules avant de revenir s’assoir sur le lit croisant de nouveau les jambes.

Sur cette question, je restas surpris un court instant...

"C'est assez rare, les personnes qui s'intéresse au passé d'un homme comme moi..."[/color]

Je réfléchis quelques instant...

"Ce qui m'accable autant..."

Je désirais dire ce que j'avais sur le coeur mais, je ne savais pas si je faisais le bon choix...

Je sortis donc mon sac de ma poche et fouilla quelques secondes dedans...

Je sortis une image...un petit portrait sur lequel on pouvait voir Lucia...

"Vous voyez...Mon problème actuel c'est que...

Je me pinças les lèvres avant de dire ce que je m'apprêtais à dire..

Je tendis l'image à la jeune femme.

"Vous voyez ce qui m'accable..."

Je ne bougeais plus depuis que je lui avais donner l'image...

"Elle a disparut lors d'un de mes voyages...Passée par dessus bord durant une tempête..."

"Je ne l'ai jamais retrouvée et je l'ai cherchée durant tellement de temps..."

Je restas sans bouger durant plusieurs minutes...

Le soleil venait de pointé complètement son nez â l’horizon. Le village commençait doucement à grouiller de gens et de bruit. Les odeurs de pains et de farine flottaient dans l’air. Iris pouvait sentir la fatigue disparaitre, comme si, elle était tellement endormit que son corps n’avait plus besoin de sommeil. Elle prit donc entre ses doigts l’image et regarde cette dernière. Ce ne fut pas la surprise qu’on lit dans son regard, ma un doute.. Certes la femme lui ressemblait, et elle était désoler de la disparition de cette dernière.

Du bout des doigts, elle frôla la surface de l’image, comme si elle cherchait à comprendre les sentiments que pouvait ressentir le model. Le sourire de la jeune femme, était véritable. Remplis de joie. Il n’avait rien de faux dans tout cela. Son regard se posa aussitôt sur l’homme. Il avait donc le cœur en peine de la perte de cette personne. Pouvait-il être quand même un bon protecteur ? Ou allait-il laisser ses sentiments néfastes prendre le dessus. Elle devait calmer la douleur que cet homme ressentait. Car elle se savait capable de le faire. Se redressant de sur son lit, elle s’approcha de son bureau. Prit une feuille blanche de parchemin. D’un souffle elle fit mourir la bougie, rendu inutile. Puis pris sa plume qu’elle porta proche de ses lèvres. Pensif à ce qu’elle allait marquée.

-Vous savez, il arrive tous les jours des disparitions en mers. La plupart des gens sont repêcher par des pirates et vendu en esclave. La seule chose que je peux faire pour vous, c’est de déclarer cette personne comme étant sous l’ordre de la couronne. Et de mettre une prime pour la personne qui la rapportera vivante au royaume.


La jeune fille se pencha un peu sur le bureau, étant dos à l’homme elle commença à écrire le décret royal. Qu’elle avait la permission d’écrire. Tout son corps était éclairé par la lumière du soleil qui pénétrait par l’unique fenêtre, protéger par des barreaux de métal. Les rayons dessinait les courbes de son corps rendant légèrement le fin tissus sur sa peau transparent.

Doucement d’un mouvement gracieux du poignet. Elle signa la dernière ligne de l’avis de recherche. Puis elle déposa la plume proche de l’encrier, s’assurent que l’encre restant sur la plume de coule pas sur le bureau. Puis, elle accorda un bref regard au soleil qui illuminait le ciel avant d’accorder son regard sur l’homme toujours assit dans la chaise. Elle passa une main dans ses cheveux afin de détresser sa chevelure qui avait commencé à onduler. Lui donnant presque l’air d’un ange.

- Je n’ai pas d’autre question pour l’instant… Et vous avez-vous des questions pour moi ?

Elle s’étira doucement, levant les bras toucha presque le ciel. Sa robe glissa sur son dos suivant les mouvements gracieux et félin de son corps. Elle cacha ses lèvres ou un bâillement se fit entendre. Elle reprit place sur le bout du lit en face du garde. Elle avait compris que ce dernier voyait en elle, la fille qu’il avait perdu. Donc aucune chance qu’il ne se jette sur elle pour lui faire mal. À Moins qu’il avait menti sur son passé afin d’attendrir la princesse pour se rapprocher d’elle. La tête sur le côté, elle observait l’homme de haut en bas. La tristesse n’avait point place dans le cœur d’un homme, qui se devait de ne pas céder aux sentiments du cœur.

Dehors, dans le couloir, la vie avait repris, les servantes avaient commencé leur journée de tâche, passant de porte en porte afin de faire le ménage dans les chambres, personne n’avait encore frappé à la porte de la princesse, car tous savait qu’elle ne dormait pas encore et qu’elle était en tête à tête avec un homme. Parfois, les murmures de ses dernières pouvaient franchir la porte pour venir aux oreilles des gens, les serveuses se demandaient tous pourquoi le Roi cherchait à provoquer les hommes, sûrement une façon de prouver la beauté de sa fille aux yeux du peuple. Le regard de la princesse se posa sur la porte… Les paroles des servantes la fit soupirer. Comme si son père désirait qu’on s’attaque à elle. C’est sur qu’elle trouvait étrange que son père la laisse seule avec un homme. Sachant qu’une fois la nuit tombée, certains désirs étaient puissants

La princesse n’avait point quitté l’homme des yeux, elle avait un petit sourire aux lèvres. Mais la porte s’ouvrit de nouveau, elle ne porta pas attention à Michelle, sa bonne, qui venait d’entrer dans sa chambre afin de lui choisir une tenue… Encore une nuit sans fermer les yeux, cela devenait une habitude pour la princesse. Mais le sommeil lui manquait énormément. De plus le garde avait piqué sa curiosité au plus haut niveau. Mais elle devait aller remplir ses royales obligations auprès de son père qui devait toujours dormir à cet heure.

Elle se redressa donc, surprise de la question du garde, afin de s’approcher de sa bonne qui tapait du pied n’aimant pas la voir trainer au lit. Sans même se soucier du garde, elle tandis une robe au couleur rouge à la jeune princesse et la poussa derrière le panneau de bois et de tissu. La princesse retira ses vêtements, écoutant toujours les paroles de l’homme, Michelle l’aidait à attacher le corset qui était lasser dans le dos. Elle sera afin de rendre la silouhette déjà parfait de la princesse, divine. Coupant le souffle de cette dernière qui avait l’impression d’être une poupée entre ses mains. Par un souffle légèrement coupé, elle répondit au garde;

- Oui j’ai eu quelque court, mais cela reste entre nous, si le roi apprenait que je touche aux armes, je le payerais cher, pour l’instant comme vous pouvez le voir, je suis entre bonne main, il vous est donc permis de prendre congé de moi pour la matiner. Nous nous reverront pour le diner

La princesse poussa un petit cri lorsque Michelle tira un bon coup sur les cordes, que de souffrance pour être belle aux yeux du roi et du peuple. Michelle lui enfila ensuite la robe qui avait les manches lassé. Puis la princesse sortie pour aller prendre place devant le miroir. Michelle prit quelques rubans de même couleur que la robe et commença à la coiffer. Iris ne pu alors retenir un bâillement qui fut aussitôt réprimandé par le regard noir de Michelle.

[ Fin du Rôle play, il sera donc archivé]